OPÉRATION "J'AIME LA NATURE...PROPRE"

Comme depuis plus de 1O ans, une matinée de nettoyage et de sensibilisation a été effectuée ce samedi. Les participants étaient nombreux et de tous âges.

Gilles DUPIN, maire, était excusé, retenu par des engagements familiaux. 

On s'inscrit...

....puis on s'équipe de gants offerts par un des sponsors, la société ROSTAING et de gilets fluorescents...

 ...après un café chaud et un cake, on écoute Alban PALIARD (représentant des chasseurs) expliquer les tenants et les aboutissements de cette matinée : 

Le discours

Les photos avant les départs des différents groupes :

Les équipes partaient ensuite sur les bords de la Loire, plusieurs quartiers de Balbigny ou encore sur la route de Néronde.

On dit que la vérité sort de la bouche des enfants : c’est dur d’entendre "Maman un cendrier géant".

Après que les différents groupes furent revenus…

... la benne prêtée par CITEOS était pratiquement pleine. Une des équipes de « Loire propre » a ramassé 220 bouteilles au même endroit.

Certains participants malheureusement repartis n'ont pas assistés aux discours de clôture :

Gilbert DAUPHIN (marcheurs - Néronde) commençait : « En tant que marcheurs, nous utilisons les chemins très souvent et nous sommes ainsi sensibilisé à la préservation de la nature. Nous avons mis en place cette année plusieurs actions dont « pas de rando sans sac à déchet », des plantations de haies en collaboration avec les chasseurs, participation à la journée mondiale « zone humide », « fête de la nature »…. Et d’autres actions sont prévues pour l’année qui vient ». Il regrettait que les chemins se perdent à cause du manque d’entretien, de la privatisation et de l’avancé du goudron.

Laurent CARTERON (pêcheurs) abondait dans le sens de M DAUPHIN en rajoutant « il reste pas mal de choses à faire pour améliorer la relation avec la nature »

Bernard RIEUX (fédération départementale de la pêche) : « Nous avons l’obligation d’entretenir et de préserver les chemins. J’ai un message pour les générations futures : sans eau on ne vit pas. Depuis quelques mois, une demande a été faite de se concentrer sur les affluents des fleuves et, qu’à terme, les actions se développent aux villes. Des actions sont menées actuellement et cela est très bien. J’ai un remerciement et un désir. Le remerciement à la municipalité et à la CCFE pour le financement du casse-croute. La demande est que ce type de demi-journée perdure mais dans une meilleure concertation entre les acteurs. C’était très bien mais ce sera encore mieux l’an prochain ».

 

Christophe LAMURE - délégué à l'environnement avait acheminé les boissons et les victuailles